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Quand nos horloges internes se croisent : chronotypes et complicité

Dans ce 71ᵉ épisode du podcast Les chemins du couple, nous explorons le rôle fondamental de nos chronotypes – ces profils biologiques qui déterminent nos pics d’énergie et nos creux de vigilance. Loin d’être de simples préférences, ils reposent sur nos rythmes circadiens et pilotent notre sécrétion de mélatonine.

Entre matinaux, intermédiaires et nocturnes, chacun évolue selon un tempo propre, qui influence non seulement la qualité de notre sommeil, mais aussi notre capacité à gérer le stress et à communiquer avec l’autre.

Comprendre son chronotype

Le chronotype se mesure à l’aune de vos pics d’attention : certains atteignent leur niveau optimal dès l’aube, d’autres ne montent en puissance qu’en fin de journée.

Enregistrés sur une échelle de 1 à 5, ces relevés mettent en lumière des plages de haute performance (par exemple 7 h–9 h pour un profil matinal) et des plages de creux (23 h–1 h pour ce même profil).

L’exercice proposé consiste à noter, toutes les trois heures, votre niveau d’énergie et celui de votre partenaire sur une semaine : un véritable état des lieux biologique pour dépasser les jugements de “trop lent” ou “trop pressé”.

Objectiver les tensions invisibles

Les décalages de chronotype engendrent trois phénomènes majeurs : une irritabilité accrue en période de creux, une moindre réceptivité quand le cerveau est en repos, et la propension à ruminer.

Le Couple B, par exemple, a corrélé l’intensité de ses micro-tensions (1 à 5) à ses niveaux d’énergie : ils ont constaté que 70 % des désaccords dépassaient l’intensité 3 lorsqu’un partenaire était en creux, contre seulement 20 % lors d’un pic, et à peine 5 % quand leurs niveaux étaient alignés.

Moments partagés et pauses solitaires

Au-delà des tensions, cet épisode vous guide dans l’inventaire de vos fenêtres de complicité et de vos temps de ressourcement en solo.

Le Couple C a observé, sur une semaine, une alternance moyenne de deux heures partagées pour une heure en solitaire.

Ils ont constaté que les instants vécus en pic d’énergie généraient un bien-être plus élevé (4,7/5 contre 3,8/5 en creux), tandis que les pauses solo agissaient comme un « reset » bénéfique.

Normes sociales, habitudes familiales et instants hors-cadre

Enfin, l’épisode met en lumière l’écart entre les repères imposés – dîner à 19 h, brunch dominical – et les moments réellement épanouissants.

Un couple étudié a montré que 60 % de leurs temps forts tombaient autour de 19 h (satisfaction moyenne 3,2/5), alors que les créneaux plus spontanés (16–17 h, 21–22 h) produisaient un taux de satisfaction de 4,4/5.

Ces « éclats de complicité » révèlent que l’imprévu et la déconnexion des normes sont souvent source de véritable connexion.

À travers cette exploration scientifique et pratique, vous disposerez d’outils d’observation pour comprendre comment vos horloges internes façonnent votre vie à deux — sans juger, mais en notant, en comparant, et surtout en apprenant à repérer les moments où vous êtes le plus à même d’être ensemble.

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